L’Association de la presse judiciaire (APJ) s’inquiète des pressions exercées depuis le mois de mars sur la presse par la communication du cabinet du garde des Sceaux.
Des journalistes, et même des responsables de rédaction, sont directement contactés pour que des éléments de langage soient diffusés ou d’autres, retirés des contenus éditoriaux.
Ces méthodes dignes d’un autre siècle sont inadmissibles. Chacun son métier !