Héritière et fidèle continuatrice de la Société confraternelle et mutuelle de la presse judiciaire fondée le 10 mars 1887, l’A.P.J. a, comme elle, pour but de maintenir et de resserrer entre ses membres les liens solides de confraternité qui lui permettront, comme jusqu’à présent, de s’entraider et de défendre efficacement les intérêts professionnels et moraux des journalistes spécialisés dans l’actualité judiciaire.